Année 2: Étude de continuation d’un enfant de 9 ans avec des tendances dyslexiques
Au début de 2016, un élève du primaire, Hester**, a entrepris le dépistage de la DST-J (2004) en raison de difficultés importantes avec la lecture et l’orthographe. Elle a démontré six signes de dyslexie et, par conséquent, son école a introduit des pratiques normalisées pour soutenir son handicap. Les parents de Hester ont également fourni à l’école un ReaderPen, espérant que la technologie d’assistance pourrait être incorporée aux côtés d’autres stratégies pour soutenir leur enfant.
L’impact de l’utilisation d’un ReaderPen sur les apprenants de 10e année dans une école urbaine multiculturelle
Une étude menée par le ministère de l’Éducation en 2013 a révélé que 17 % des jeunes de 15 ans en Angleterre n’ont pas un niveau minimum de compétence en littératie. En 2013, un peu plus d’un apprenant du secondaire sur huit avait également l’anglais comme langue supplémentaire (EAL) et ces apprenants étaient majoritaires dans 117 écoles de Birmingham (NALDIC, 2013). On a fait valoir qu’il faut dix ans pour à un apprenant pour franchir les cinq étapes de l’acquisition d'une langue seconde, passant d’aucune langue à la maîtrise (Stats Wales, 2013) ; une forte proportion de ces apprenants de langue supplémentaire (EAL) n’ont pas été dans les écoles du Royaume-Uni pour cette durée et, bien que beaucoup puissent être compétents en langage conversationnel ou, compétences de base en communication interpersonnelles (BICS) (Cummins, 2009), et semblent donc pleinement compétents, ils sont susceptibles d’être remis en question par la transition vers un langage académique réceptif et expressif essentiel à la réussite à l’examen à 16 ans (p. ex. , 2018). Ces apprenants sont donc vulnérables et risquent de ne pas performer lors de ces examens publics si cruciaux pour leur avenir.
Perspective de SENDCO (R-U)
Nous avons commencé cette étude en souhaitant mieux comprendre le rôle de la SENDCo et la façon dont ils identifient et comprennent les besoins de l’étudiant handicapé, en particulier les élèves ayant des difficultés de lecture comme la dyslexie. Nous comprenons que la dyslexie est un handicap qui a un impact sur 750 000 enfants au Royaume-Uni (Dyslexia Research Trust, 2018), et nous sommes également conscients de la difficulté que les enseignants ont signalée lorsqu’ils enseignent aux enfants ayant des difficultés de lecture (Driver Youth Trust, 2016) et comment cela peut avoir un impact sur les résultats et les résultats de l’élève au niveau primaire.
Étude des étudiants adultes ayant des handicaps identifiés - L’utilisation de la technologie de soutien
L’étudiant adulte d’aujourd’hui a une myriade de technologie de soutien à portée de main, mais peut trouver incroyablement difficile d’identifier quelle technologie fournira un meilleur ajustement pour leurs besoins individualistes, après tout une taille ne convient pas à tous. En liaison avec une grande université basée dans le nord de l’Angleterre, nous étions dans une position unique pour leur demander de comparer le ReaderPen avec trois autres éléments de la technologie, Read and Write, Select - Speak et Claro Reader. Hypothèse : Le lecteur de C-Pen recevrait une comparaison favorable par rapport à d’autres technologies de soutien dans les essais menés par des étudiants adultes handicapés, en raison de sa portabilité et de sa variété de caractéristiques.
Étude de l’anglais en tant qu’étudiants de langue supplémentaires - l’utilisation de soutien du ReaderPen
En 2013, un peu plus d’un million d’élèves en Angleterre ont été identifiés comme ceux pour qui l’anglais était une langue supplémentaire (EAL) (cité dans Strand, Malmberg et Hall, 2015) a assisté à un établissement d’enseignement grand public. Historiquement, les étudiants de l’EAL ont été à égalité en tant que pairs de langue maternelle en anglais (FLE) lorsqu’ils ont entrepris le GCSE. 58,3 % des élèves de l’EAL ont obtenu 5+ A*-C contre 60,9 % d’étudiants (FLE). Cependant, les points forts identifiés ont été en mathématiques, par opposition aux tâches de lecture. À ce jour, la recherche a suggéré que le financement supplémentaire utilisé pour soutenir les étudiants de l’EAL a eu une influence sur les résultats positifs pour ce groupe d’étudiants. Le financement actuel, pour tous les étudiants, a été réduit; dans cette optique, il pourrait bien être prudent pour les écoles secondaires d’envisager d’autres stratégies de soutien qui continuent de permettre à l’élève de l’EAL d’atteindre la réussite scolaire.
Étude d’un cas de 8 ans avec des tendances dyslexiques et le ReaderPen pour le travail quotidien en classe
Soutenir les jeunes enfants aux tendances dyslexiques n’est pas seulement un souci pour les parents, mais aussi pour les enseignants, comme le cite un article de Dyslexia Action (2017)2. 74 % de ceux qui enseignent les enfants dyslexiques se sentent insatisfaits de leur formation initiale d’enseignant, se demandant si elle leur fournit les compétences nécessaires pour identifier et enseigner aux enfants atteints de dyslexie. Souvent, les enfants dyslexiques sont incroyablement qualifiés et intelligents; par conséquent, il est impératif que l’identification précoce des tendances dyslexiques soit reconnue pour permettre la mise en œuvre du bon style d’enseignement et d’apprentissage pour cet enfant (tel que recommandé par le psychologue éducatif Dr Gavin Reid (2017))7. Cependant, des problèmes de lecture peuvent survenir en raison d’autres problèmes tels que les difficultés médicales et d’apprentissage. L’identification précoce de la dyslexie peut s’avérer difficile.